Comment représenter les migrations ? Comment symboliser ces gens qui meurent aux frontières de l'Europe, de soif dans le désert, de noyade dans la Méditerranée ? Il est temps de changer nos représentations et nos cartes, pour comprendre que ce qui se joue, c'est notre politique d'accueil, estime Ocomarri, pseudonyme d'un géographe qui « travaille pour une institution publique qui pourrait froncer les sourcils en [le] lisant sous [son] nom ».
Le respect de bonnes pratiques journalistiques concernent aussi les cartes et ce qu'on leur fait dire ou ce qu'elles occultent.